jeudi 19 juillet 2007

Home sweet home !

Oyez oyez mes amis, "je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour" © Team Rocket. Mais attention, pas n'importe quel mauvais tour, non messieurs dames, un mauvais tour de folie ! Alors bon j'ai la pêche, il fait beau.

Aujourd'hui, sujet très important, le "haume souite haume", dit également "Home sweet home" chez nos voisins. En gros, le retour à la maison. Quelle chose fabuleuse que de retourner chez soi, retrouver ses habitudes d'ermite, le mauvais temps, les odeurs familières du potager ou du pot d'échappement. Joie, joie !... Tristesse.

Chez soi, finalement, c'est chiant. Bon, prenons un exemple concret : moi. Je reviens d'une semaine chez mes grand-parents, avec mes cousins, et tout l'bazar. Bin c'était la fête : couchés à 4h du mat', PS2, GBA, TNT, NT1, Petit LU. Voyez le programme aléchant ! On ne s'ennuyaient jamais, on vivaient d'eau fraîche et de verdures, nous nous nourissions seulement de baies sauvages et de Régalades, c'était la belle vie.

Et maintenant quoi ? Bin j'me fais chier. Programme : couché à 1h du mat', PC, PC, Pc, pc... Je vis de yaourts crémeux et de limonade, et me nourris de poulet au curry. Déprimant. Le Home sweet home, c'est naze.

Peut-être prochainement, un article intéressant, et très développé intélectuellement, parce que je sais que vous aimez ça.

De la joie d'une vie sociale mouvementée.

Bon, en vu du post précédent, on en déduit facilement que j’ai une vie sociale plus que limitée. Je connais des personnes, quand même. J’ai même une copine, c’est dingue. J’ai des “amis“. En fait non, j’ai des connaissances. C’est un fait, je ne partage rien, ou très peu de choses ; non, rien.

Jadis, lorsque c’était le bon temps et que je vivais au rythme des parties de Pokémon, il m’était facile d’aller chez mon voisin/voisine. Maintenant, non. L’ordinateur, lorsqu’on n’sait pas le gérer, comme moi, c’est un tue-vie. Il me bouffe, je ne vis qu’avec lui, mais je ne partage rien avec lui. Il me fait chier, finalement.

Mais passons, je disais que je n’avais pas de vie sociale ; effectivement. Je vais dire quelque chose qui semble égoïste, mais là, actuellement, hormis les personnes de ma famille (et encore, même pas toutes) si une “connaissance” venait à mourir, je crois que ça ne me ferait aucun effet. Je reprendrai juste 2 fois des nouilles. Je ne suis attaché à personne, et personne n’est attaché à moi.

Vous allez obligatoirement me dire “oui mais si machin truc bidule kikoololmdr t tro fort jte kiff grav !!“, mais non. Je vous dis ma stricte véritée, après vous la prenez comme vous voulez. J’ai quand même beaucoup (enfin tout est relatif) de connaissances, mais j’ai pas d’ami(e)s. C’est facheux.

Voilà, je crois que je suis fait pour être comme ça. Je suis en train de ruiner ma théorie de changement du post précédent, mais peu importe. Je m’en fous. Pas plus de 10 connaissances ne vont penser à moi pour mon anniversaire.

Mais c’est déjà ça.